Résumé :
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Adalbert raconte son quotidien, avec un certain humour : d'une famille aisée (en Italie) et un peu trop materné, il convainc ses parents de l'inscrire dans un collège public, pour être avec son meilleur copain, fils d'un des ouvriers de son père, mauvais élève, costaud et déluré. Adalbert peine à se faire une place : il ne connaît rien à la vraie vie, surtout en matière sexuelle. Et puis finalement, il s'aperçoit que l'important, c'est de faire ce qu'on aime, plutôt que d'entrer dans tel ou tel moule. Le point de vue à hauteur du jeune garçon sonne juste, dans l'évocation de la vie quotidienne comme dans celle de ses sentiments, même si le narrateur maintient une certaine distance amusée, qui évite l'empathie avec le personnage.
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